Quand je dis non, c’est non!
L’ONU définit les violences faites à l’égard des femmes comme désignant : « tout acte de violence fondé sur l’appartenance au sexe féminin, causant ou susceptible de causer aux femmes des dommages ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques, et comprenant la menace de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté, que ce soit dans la vie publique ou dans la vie privée. »
Aujourd’hui, la réalité des violences envers les femmes prend des formes différentes selon les sociétés, les cultures, mais l’existence même de ces violences se retrouvent dans toutes les classes sociales, les cultures, les religions, les situations géopolitiques. Actuellement, en Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans, avant le cancer et les accidents de la route.
Dans le monde, au moins 1 femme sur 3 est victime de coups, d’abus, de viol ou d’autres formes de maltraitance au cours de sa vie. La moitié des meurtres commis sur des femmes sont imputables à leur (ex-)partenaire.
Chez nous une femme sur sept est victime de violences psychologiques, physiques et sexuelles. Près de 100 femmes par jour sont violées en Belgique, dont un dixième seulement porte plainte.
Brisons cette chaîne de violence. Brisons le silence.
Mobilisons-nous tous les jours avec un focus particulier aujourd’hui!
Le Conseil des Femmes dans sa campagne 2015 pour lutter contre les violences offre un cours d’auto défense : voir illustration!