L’appel du 18 juin

Le 18 juin 1940, Charles De Gaulle, cet homme blanc de 50 ans, lance un appel qui est considéré comme le texte fondateur de la Résistance française, dont il demeure le symbole encore aujourd’hui.

Dans la version publiée de son texte il dit en parlant de la capitulation : « Mais le dernier mot est-il dit ? L’espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non ! »

Face à la capitulation de certains vis-à-vis de la neutralité – garante de l’Etat de droit- , je me pose la question le dernier mot est-il dit ? Non le Centre d’Action Laïque, ne veut pas en rester là, et relance le processus judiciaire suite à la condamnation de la Stib. Ainsi le CAL s’exprime pour « la défense et la promotion de la laïcité, principe humaniste qui fonde le régime des libertés et des droits humains sur l’impartialité du pouvoir civil démocratique dégagé de toute ingérence religieuse. » L’espérance donc ne doit pas disparaître.  Et nous libéraux, demain, comme aujourd’hui, nous continuerons à nous exprimer.

Le Gouvernement bruxellois nous a fait perdre une bataille contre la neutralité, mais « la flamme [de la résistance] ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas ».

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