Commémoration du Génocide des Arménien-ne-s
Pessah, la Pâque juive, également la fête du printemps, symbolisant l’éveil et le renouveau se distingue par sa diversité et ses nombreuses significations, auxquelles l’on peut adhérer que l’on soit croyant-e ou non. C’est une fête qui parle de Liberté, de Communication et de Mémoire.
Aujourd’hui la commémoration du génocide arménien s’est inscrite dans cet esprit à travers le magnifique discours du président du comité des Arménien-ne-, Christian Vrouyr.
Il a parlé de la nécessaire Mémoire d’un souvenir douloureux. Il a parlé de Communication car elle doit appartenir à l’humanité entière, comme la Mémoire de la Shoah ou le génocide des Tutsis.
Et de Liberté car il faut lutter contre le négationnisme afin que nos enfants puissent vivre libres. C’est le cas quand la Mémoire est respectée, l’enseignement et la lecture des faits sont partagés, et dès lors les valeurs sauvegardées.
Le dialogue doit être libre et sans limites, pour pouvoir être enrichissant.
Pessah, une fête qui rapproche les hommes et les femmes, les générations entre elles, les membres de familles entre eux.
C’est aussi ce qui s’est passé aujourd’hui au Mémorial du Génocide des Arménien-ne-s à Bruxelles. #PlusJamaisCa #BeginsWithMe #Genocide des #Armeniens