Pourquoi on se bat?
« On ne devrait jamais tourner le dos à un danger pour tenter de le fuir. Si vous le faites, vous le multiplierez par deux, mais si vous l’affrontez rapidement et sans vous dérober, vous le réduirez de moitié« . C’est de Winston Churchill. Il savait de quoi il parlait. En Belgique demain, il y quelques zones de danger. L’extrémisme flamand, l’insécurité, la crise économique, la montée de l’intolérance. Il y a des réponses. le MR a des réponses, des solutions, et le courage de les porter. Je vous invite à partager ce en quoi je crois, et ce pourquoi je me bats.
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2 commentaires
Jurek Lipszyc
Vous êtes très bien Viviane, vous avez de bonnes valeurs et je crois en vous, le problème c’est qu’après avoir entendu les propos de Louis Michel et vu ce que le MR a « accompli » ces dernières années, la politique et économique de Didier Reynders pour ne citer que ça, je doute fort que vous puissiez changer quoi que ce soit. Vous avez eu des années durant la possibilité de changer les choses puisque vous aviez le pouvoir et voilà ou nous en sommes aujourd’hui: un pays économiquement au bord de l’asphyxie, une économie chancelante, une politique d’immigration désastreuse, une politique sociale ruineuse, un chômage record, une insécurité grandissante, une impunité totale pour les délits les plus graves, des médias partiaux, muselés, menteurs, faisant plus de la propagande que de l’information, un enseignement nivelé par le bas (un des plus mauvais au monde!) une fiscalité record (une des « meilleures » au monde), bref pas de quoi pavoiser. Voilà pourquoi je préfère donner sa chance à un jeune parti, sans langues de bois, qui prône les bonnes solutions et qui n’ayant que quelques mois et malgré les obstacles que les partis dits: »démocratiques traditionnels » dont vous faites partie je vous le rappelle, ont posé sur sa route, à réussi en Wallonie et à Bruxelles à se présenter à des élections anticipées. Vont-ils réussir ? Peut-être bien, peut-être pas, mais il faut leur donner leur chance. On me dit que comme ils ne seront pas représentatifs, cela va être tout bénéficie pour le PS. Quelle importance puisque de toutes façons avec le jeu des coalitions suivant les élections ce seront de toutes façons les mêmes d’avant les élections qui seront au pouvoir. ET ON SAIT DÉJÀ QUI SERA PREMIER MINISTRE! VOUS VOUS RENDEZ COMPTE DE CE QU’ON DEMANDE AU PEUPLE ? ON LEUR DEMANDE D’ALLER VOTER ALORS QUE LES JEUX SONT DÉJÀ FAITS OU PLUTÔT QUE LES DÉS SONT JETÉS! LA BELGIQUE UNE DÉMOCRATIE ? QUELLE FARCE! LE PAYS DEVRAIT CHANGER SON SLOGAN EN « L’OIGNON FAIT LA FARCE! »
Bien à vous,
Jurek Lipszyc
Thierry
Pourquoi vous battez-vous? Pas pour les indépendants en tout cas.
1) Pour rappel, les intérêts notionnels, ce n’est pas notre tasse de thé.
2) Les petits risques ont été acquis… grâce au PS. Un comble pour un parti qui prétend nous défendre.
3) Le MR a eu le poste des Finances suffisamment longtemps que pour changer certains ‘fondamentaux’. Pourtant, là non plus, convenez-en, nous n’avons pas vu de changement significatif.
Se battre pour « le grand capital » n’a jamais servi à rien d’autre qu’aux plus riches.
Nous autres, issus des classes moyennes et travaillant jusqu’à 15 heures par jour, cela fait des années qu’on ne voit plus rien venir du MR. Ah si: de nouveaux impôts concoctés par Didier!
Et avec le FDF qui vous fait de l’ombre et parasite votre discours, c’est encore moins tentant de voter pour vous.
Je n’ai pas honte à le dire dans mon entourage: pour la 1e fois de ma vie (et sans doute la dernière), j’ai voté PS. En réaction au cirque Fortis-Dexia honteux et pour les remercier d’avoir intégré les petits risques dans l’assurance-obligatoire. J’étais furieux de voir que le MR n’était même pas présent sur ce terrain de prédilection. Plutôt que de donner ma voix à un Parti Poujadiste, j’ai préféré opter pour les socialos. Mais rien ne dit que, la prochaine fois, je n’irai pas voir à votre droite. Sachez que, lors de nos réunions TPE sur Bruxelles, nous sommes de nombreux indépendants à penser ainsi. Et nous aussi, nous nous battons… mais nous réalisons ce que nous affirmons.